Samedi 1er juin, 10h30, nous rentrons dans la zone de départ de l’aéroport de Genève : direction l’aéroport de Tokyo-Narita via Moscou.

C’est le début de notre aventure japonaise.

Nous avons choisi la compagnie Aeroflot pour notre voyage aérien. Hormis une hôtesse de l’air pas très commode, le trajet jusqu’à Moscou se déroule sans encombre.

Arrivés à Moscou pour 1h30 d’escale, nous avons un peu de mal à nous orienter dans ce grand aéroport quelque peu… austère. Mais finalement nous arrivons à notre avion dans les temps. Malheureusement, nous apprendrons 10h plus tard que nos bagages n’ont pas eu cette chance.

Passons les détails du vol suivant rapidement :

  • des Russes saouls derrière nous (c’est bruyant 2-3 heures mais après ça dort le reste du trajet)
  • des repas corrects
  • des films récents (mais un écran qui fonctionne mal et très peu de films sous-titrés)
  • un grand choix de films russes par ailleurs

Bref, rien de bien particulier en somme.

Après un peu plus de 9h de trajet, nous arrivons à Tokyo. En raison de notre visa particulier nous sommes mis de côté en attente d’un agent des douanes spécifique. Bien sûr on nous a laissé faire la queue avec tous les autres avant de nous le dire.

Nos premiers pas sur le sol japonais à l'aéroport de Tokyo - Juste Ici - Le blog de voyage de Claire et Vincent
Nos premiers pas sur le sol japonais à l’aéroport de Tokyo

Une fois les formalités effectuées nous recevons notre carte de résident du Japon. Nous sommes vraiment fiers et descendons pour récupérer nos bagages. Et là c’est la déception… nos sacs à dos sont aux abonnés absents.

Et nous étions loin d’être les seuls, une bonne trentaine de personnes de notre vol étaient dans le même cas.

Stélie attend nos bagages à l'aéroport de Narita (Tokyo) - Juste Ici - Le blog de voyage de Claire et Vincent
Stélie* attend nos bagages à l’aéroport de Narita (Tokyo)


Après avoir déclaré cette perte, nous relativisons en nous disant qu’au moins nous n’aurons pas à porter nos gros sacs à dos dans toute la ville. L’aéroport nous ayant signalé qu’ils nous livreraient les bagages le lendemain à 19h, parfait.

Mais c’était sans compter sur l’efficacité d’Aeroflot (ou de l’aéroport de Moscou, où les deux allez savoir). Plusieurs mails, appels et 4 jours plus tard nous recevons enfin nos bagages, par surprise jeudi soir. Heureusement nous étions chez nous.

Rien ne manque mais un tube de crème solaire explosé et un rasoir cassé, ce n’est pas les retrouvailles que nous espérions avec nos bagages. Tant pis l’important c’est de les avoir retrouvés et qu’ils ne soient pas complètement perdus.


Enfin bref… Malgré cela nous avons pu profiter de nos premiers jours à Tokyo « presque » sans y penser.

*Qui est Stélie ?

Stélie est notre mascotte ! Offerte par des amis, ils nous ont mis au challenge de la photographier aux quatre coins du Japon, vous pourrez donc suivre ses aventures en même temps que les nôtres.