Proche de Shin-Imamiya, notre dernière demeure sans fenêtre nous offre une chance de visiter un nouveau quartier. Outre les ruelles aux mœurs légères, non loin de chez nous se trouve l’Abeno Harukas. C’est un gratte-ciel moderne dont la construction a duré entre 2010 et 2014.
Cette tour est connue pour offrir une belle vue sur la ville d’Osaka et sa skyline, sa silhouette urbaine. Forts de notre expérience à la Tokyo Skytree, nous nous y rendons en fin d’après-midi pour profiter du coucher de soleil et du début de la nuit. Moins fréquenté que les diverses tours de Tokyo, le sommet y est moins vertigineux. En effet sa hauteur n’est “que” de 300 mètres contre 634 pour la Tokyo Skytree. Mais cette hauteur permet tout de même à l’Abeno harukas d’être le plus grand gratte-ciel du Japon.
On ne va pas vous mentir, à part faire le tour de l’étage supérieur et de la cour/patio, il n’y a pas grand-chose d’autre à faire hormis observer la ville. Pour les personnes au portefeuille bien rempli, il y a quand même un restaurant et une boutique de souvenirs.
Le seul attrait pour nous, et pas des moindres, c’était le coucher de soleil sur la baie d’Osaka. Nous n’étions pas les seuls à patienter pour voir s’estomper les derniers rayons de soleil sur l’horizon azuré.
Selfie masqué devant les derniers rayons du soleil et la baie d’Osaka à l’Abenu Harukas Observation du coucher de soleil sur la baie d’Osaka depuis l’Abeno Harukas Le coucher de soleil sur la baie d’Osaka depuis l’Abeno Harukas Une usine au bord de la baie d’Osaka devant le soleil couchant Le ciel du crépuscule sur la baie d’Osaka La verrière sud de l’observatoire de l’Abeno Harukas donnant sur un coucher de soleil sur la baie d’Osaka Une personne contemple le coucher de soleil sur la baie d’Osaka depuis le 60e étage de l’Abeno Harukas La silhouette de Claire se découpe dans le crépuscule de la baie d’Osaka Coucher de soleil sur Osaka et sa baie depuis l’Abeno Harukas Reflet du coucher de soleil sur l’est d’Osaka
Après le dernier faisceau de lumière, le ciel orangé s’est lentement rosi jusqu’à s’assombrir. Les lumières et les néons sont, petit à petit, devenus plus intenses dans la ville qui se tenait sous nos pieds. Très vite, mais assez graduellement pour que l’on ne parvienne pas à s’en rendre compte, le jour à laisser place à la nuit.
Vue du paysage urbain d’Osaka au nord de l’Abeno Harukas Vue du paysage urbain d’Osaka à l’est de l’Abeno Harukas Une grande rue qui sillonne à travers la ville d’Osaka Les bâtiments centraux du temple Tenno-ji d’Osaka vus depuis l’Abeno Harukas Le temple Tenno-ji à Osaka, vu depuis l’Abeno Harukas La route Izumi Sennan et ses lumières qui traversent Osaka La route Izumi Sennan et ses lumières dans la nuit qui traversent Osaka Un stade dans la ville d’Osaka avec effet miniature
Après un shooting photo plus complexe dans un paysage nocturne, nous avons retrouvé le plancher des vaches avec une envie de sushi.
Flou de circulation nocturne dans une rue d’Osaka Lumières et reflets de la ville d’Osaka dans la nuit depuis l’observatoire de l’Abeno Harukas Une rue avec effet maquette dans la nuit d’Osaka Deux grands artères de la ville d’Osaka et ses lumières nocturnes Vincent devant les décorations lumineuses de la plateforme inférieure de l’Abeno harukas d’Osaka
Ce qu’il faut savoir, c’est que nous avons énormément de mal à prendre une décision et que l’on peut passer la soirée à arpenter les rues, voir le quartier, pour trouver un restaurant qui nous convienne. Souvent, c’est la faim qui nous force à mettre fin à nos errances gastronomiques.
C’est ce qui nous manque le plus peut-être, sortir, marcher dans la ville, manger et rentrer tard… Sans penser au lendemain.
Nous avons aussi profité du panorama pour revoir les lieux de nos excursions récentes.
Un mot sur le Spa World
Nous avons aussi pu faire un tour dans le Spa World (un autre jour bien sûr). C’est un immense bâtiment (voir photo ci-contre) qui regroupe de nombreux onsen. Deux étages pour les onsen, un étage piscine et bien d’autres activités, nous avons pu en profiter avec très peu de monde grâce au covid. Pas vraiment traditionnel et un peu kitsch mais intéressant.